quarta-feira, 11 de fevereiro de 2009

O Rei que não quer ser Rei


Mohammed VI est un roi people. Et sa pipolerie trouve son apogée lorsqu’il vient faire un petit tour en France où du Crillon à Courchevel il oublie les soucis du royaume.





Bien qu’il possède plusieurs appartements à Paris, dont un hôtel particulier au Champs de Mars, près de la Tour Eiffel, M6 aime bien aller à l’hôtel Crillon où il demande à loger dans la suite « Duc de Crillon ». L’une des plus luxueuses de l’hôtel ! L’occasion pour lui de croiser dans ce palace parisien plein de stars internationales comme Madonna et Jennifer Lopez. Quand il en a marre de Paris, M6 peut descendre à la super station de ski de Courchevel. Comme il a mal au dos, il fait un peu moins de ski qu’avant et cela lui laisse plus de temps pour faire la fête avec les people de Courchevel comme Gérard Depardieu ou Lionel Ritchie.

ODES 2G: Communiqué


3 de Fevereiro 2009

Communiqué

Après l’arrivé de l’activiste sahraoui des droits humains, Vice-Président la comité de défendre le droit de l’autodétermination CODAPSO à la ville de Laayoune / Sahara occidental de l’État espagnol la police secrète marocaine de la sécurité civile, en soulignant l’état de siège sur le quartier de villas situé à Laayoune / Sahara occidental, et a attaqué un grand nombre des citoyens et des défenseurs des droits de l’homme et des ex-prisonniers politiques sahraouis après la cérémoniede réception organisée à l’honneur de Hamad Hammad,Y compris les personnes suivantes :
* Le citoyen sahraoui Shine Ibrahim, quiest un vieux homme, il a subi une profonde blessure au niveau de la tête( trois points de suture).
* La citoyenne sahraouie Saadani Alaya.
* Jamal El-Housseini
* Habib Elbourhimi.
* Baillal Lalla, la soeur de l’ancien prisonnier politiquesahraoui Said Baillal.
* L’arrestation de l’ex-détenu politique sahraoui Hamada Ismaili.
* L’arrestation de l’ex-détenu politique sahraoui, Sidi Mohamed Aloit.
* Prévenir le Secrétaire général de L’Association sahraoui (l’ASVDH) Ibrahim Essabbar d’ accéder au domicile familial de Hammad Hammad.
* Prévention de la citoyenne Toufa Ment Elhafed ,qui est la mère de l’ancien prisonnier politique et le chercheur sahraoui Said Baillal d’accéder à la maison de la famille Hammad Hammad.
* La menace et l’intimidation du défenseur des droits humains et l’ancien détenu politique sahraoui Baillal Said,qui est un membre de la comité sahraoui de défendre le droit de l’autodétermination et l’activiste sahraoui des droits de l’homme Ahmed Sbai qui est un membre du Conseil de coordination de l’Association sahraoui (ASVDH) et le Président du Comité préparatoire de l’Association pour la protection des prisonniers sahraouis arrêté par une équipe marocaine des services des renseignements générales, cela concerne les personnes suivantes:
Aziz Anouch, l’officier Bouchaib Mustafa et Mohamed El_hassouni.
Nous sommes à la Commission préparatoire de l’organisation des défenseurs sahraouis - la deuxième génération en tant que des défenseurs, nous notons avec désapprobation ces dangereuse violations comme nous déclarons à l’opinion publique locale et internationale le suivants:
1 - Une forte condamnation du siège de sécurité, qui définit la ville de Laayoune / Sahara occidental avant et après l’avènement du défenseur sahraoui des droits de l’homme Hmad Hammad.
2 - Une ferme condamnation des attentats et de la prévention et des arrestations arbitraires, qui ont touché un certain nombre de défenseurs des droits humains et ex-prisonniers politiques et les citoyens au cours de la réception de Hammad Hammad.
3 - Notre demande de respect des droits de l’homme au Sahara occidental.

La Commission Préparatoire de l’Organisation des Défenseurs
Sahraouis - Deuxième Génération
Laayoune / Sahara Occidental
Le: 03 Février 2008

Les prisons marocaines ne valent pas mieux que Guantanamo


1 de Fevereiro

Les prisons marocaines ne valent pas mieux que Guantanamo
Témoignages par Catherine Graciet
Les prisons du Maroc de Mohammed VI sont aussi peu accueillantes que les bagnes de Hassan II. Témoignages accablants recueillis par l’association Attac-Maroc.
On connaissait la prison noire de Laayoune, au Sahara occidental, où s’entassent dans des conditions ignobles des sympathisants du mouvement séparatiste du Front Polisario. On connaissait aussi le centre de la DST de la ville de Temara qui, au lendemain des attentats de Casablanca du 16 mai 2003, a servi d’usine à torture contre des terroristes islamistes présumés souvent raflés au pif. Et maintenant, on connaît la prison d’Inezgane, dans la région du Souss, où sont embastillés des hommes et des femmes qui ont eu le tort de participer aux violentes manifestations de Sidi Ifni, en août dernier.
Cette ville côtière de 20 000 habitants du Sud du Maroc a connu les 7 et 8 juin 2008, puis les 18 et 19 août 2008 deux vagues de répression violente destinées à mater un mouvement social qui revendique une réelle politique de développement de la région ainsi qu’une extension et une amélioration des services publics.
Quatre de ces manifestants, dont deux militants de l’association Attac-Maroc, ont écrit une longue lettre où ils racontent leurs conditions de détention dignes du Moyen-Age. Ce courrier s’inscrit dans une campagne de communication d’Attac-Maroc, qui réclame « la libération des prisonniers d’Ifni ». Elle intervient au moment où le Makhzen marocain se gargarise de l’obtention d’un « statut avancé » avec l’Union Européenne. Une honte pour le royaume pas vraiment enchanté de Mohammed VI.
Bakchich reproduit dans son intégralité la lettre en date du 21 octobre 2008 des quatre détenus de la prison d’Inezgane qui ont eu le courage de témoigner.
De la prison d’Inezgane, nous vous adressons nos salutations militantes
Notre maintien en prison est la preuve flagrante de la démagogie qui se cache derrière le nouveau concept du pouvoir et le slogan de « l’ère nouvelle » [1]. Tout le bavardage et les applaudissements qui célèbrent la soi-disant amélioration des institutions pénitentiaires et de leur rôle éducatif et correctif ne sont que discours creux et mensonges, au regard de ce que vivent les détenus politiques et de droit commun dans la prison d’Inezgane.
En ce qui concerne les cellules, il y en a de deux sortes :
— Les cellules de l’ancien quartier appelé « caserne ». Au nombre de 7, elles ont une surface de 6mx8m avec à l’intérieur une latrine et une douche d’1m chacune et un bat-flanc près de la porte que nous utilisons comme cuisine où nous posons un réchaud électrique sur lequel les prisonniers préparent leur repas. Cela signifie qu’il ne reste pour les prisonniers — dont le nombre atteint 86 par cellule — que 40m. Les prisonniers sont donc obligés de rester recroquevillés toute la journée (20h/24) ce qui provoque des douleurs dans les articulations, surtout celles des genoux. La sortie dans la cour ne dure que 2 heures le matin, de 9h à 11h, et 2h l’après-midi, de 14h30 à 16h30.
— Les cellules du nouveau quartier, appelé « quartier », ont une surface de 7mx5m avec une latrine d’1m. 68 prisonniers y sont entassés.
— Il y a aussi une autre cellule qui n’a d’infirmerie que le nom, où 16 lits superposés sont alignés sur 24m… et où sont regroupés 28 prisonniers diabétiques, asthmatiques, tuberculeux, sous dialyse, atteints de rhumatisme ou du sida.
— Le quartier des mineurs, appelé « Pipi » comprend 6 cellules de moins de 35 m où sont entassés plus de 400 prisonniers de 5 à 17 ans !!
— Une cellule est réservée aux homosexuels, fermée par une porte en fer et disposant d’une petite fenêtre grillagée : elle ressemble à un cachot et se trouve effectivement près de 3 autres cachots qui sont des cellules sans ouvertures où l’on enferme les prisonniers que l’administration punit parce qu’ils n’ont pas obéi ou selon l’humeur du personnel administratif ou son désir de vengeance. C’est ce qui est arrivé au détenu politique Mohamed Hafid Iazza. Les pensionnaires de ces trois cachots et de la cellule pour homosexuels sont perpétuellement en bute à des insultes, des provocations, des moqueries et des humiliations de la part des gardiens et des autres détenus.
— Il y a aussi une autre cellule pour les fous et les malades mentaux qui se trouve elle aussi près des cachots. Ils sont au nombre de 40.
— Enfin, il y a le quartier des femmes qui seraient au nombre de 45, réparties en deux cellules plus une autre réservée aux femmes enceintes.
— Il y a 4 blocs de douches d’eau froide, disposant chacune de 6 pommeaux, ce qui est totalement insuffisant, ce qui pousse les détenus soit à prendre la douche froide dans les cellules soit à ne pas en prendre du tout. Il y a donc environ 1 400 prisonniers pour les 4 blocs de douches qui ne sont utilisables que pendant une heure de temps lors de la sortie à la cour. La majorité des prisonniers souffre de maladies de la peau, conséquence de la transpiration, du manque de douche, d’hygiène et des infections.
La prison d’Inezgane est connue pour être l’une des pires du Maroc. Il n’y a pas un seul médecin malgré la situation sanitaire déplorable des détenus. Ainsi, Hassan Talbi est parvenu à une situation critique du fait de la négligence de l’administration pénitentiaire. Un médecin, rattaché à la prison d’Aït Melloul vient une fois par semaine, bénévolement, le mercredi.
Cette situation remet en question les propos du ministre de la Santé, Yasmina Baddou, qui prétend que son ministère a déployé des efforts en faveur de la santé pénitentiaire alors qu’une prison de 1 400 détenus ne dispose même pas d’un médecin !
Face à la propagation des maladies et à l’absence de soins, l’hospitalisation est affaire de relations et de corruption. Il en est de même pour les visites, l’accès aux cuisines ou à l’économat. Il n’y a pas de bibliothèque ni de terrain de sport, ni d’activité de loisirs. La vie des prisonniers se limite à manger et à dormir et à la consommation de drogues qui sont vendues librement et en quantité sous les yeux des responsable, du fait de la présence d’un baron de la drogue qui monopolise ce commerce dans la prison. Comme ont dit, créer le besoin crée l’offre et la demande et le sureffectif des prisonniers constitue un marché propice à toutes sortes de commerces qui commencent avec le « chef de chambre » et finit par l’administration : les prix de la place dans une cellule varient selon le quartier et l’emplacement dans la cellule.
Le quotidien de la vie du prisonnier c’est la répression, l’injustice, les pires formes de discrimination. La loi qui règne à la prison d’Inezgane est la loi du plus fort et du plus violent.
C’est dans cet enfer de la prison d’Inezgane que sont placés les prisonniers politiques. D’autres rapports détaillés suivront qui concerneront les différents « services » de la prison pour dévoiler l’ampleur de la sauvagerie qui règne dans la prison et illustre ce qu’est « la nouvelle ère ». Cette sinistre réalité nous pousse à lutter davantage. Nos bourreaux oublient que le fait de nous éloigner de nos camarades et de nos familles ne fait que renforcer davantage notre amour pour notre terre et pour nos familles, davantage notre conviction de la justesse de notre cause et de la légitimité de nos idées et de nos principes.
Nos salutations à tous les camarades et militants dans le combat, malgré la répression et les souffrances. Nous vaincrons.
Signataires
BARA Brahim, numéro d’écrou 81101
AGHARBI Hassan, numéro d’écrou 81934
RIFI Zakaria, numéro d’écrou 82034
OUHADANI Mohamed numéro d’écrou 80932
Mort sous la torture en prison
Le 2 novembre dernier, le journal marocain Al Jarida El Oula publiait en Une la photo d’un homme en train d’agoniser à moitié nu dans une cellule de la prison de Aïn El Kadouss, à Fès. Il s’agissait de Bouchta El Boudali, accusé de vol et placé en détention préventive. A ce sujet, l’éditorialiste du Journal Hebdomadaire, Khalid Jamaï, écrivait le 8 novembre dernier : « Cause de la mort ? Les tortures subies et dont son ventre, ses mains, ses jambes, son appareil génital et son visage portent encore les stigmates. Tortures confirmées par sa famille ».

Suspensión del juicio señalado para hoy en El Aaiun.





El juicio se celebrará en el Tribunal de Primera Instancia de El Aaiun, en un juicio penal, el día 25 de febrero, al activista de derechos humanos, Wahid Mustafa Hedi.

4 de Fevereiro

SEGUN LAS INFORMACIONES QUE NOS ACABA DE PROPORCIONAR EL OBSERVADOR ENVIADO POR ESTE OBSERVATORIO D. JOSE ALFREDO PEREIRA ARAGÜETE, QUE SE ENCUENTRA EN LA CIUDAD DE EL AAIUN, DESDE EL PASADO DÍA TRES, HA SIDO SUSPENDIDA VISTA DEL JUICIO QUE SE IBA A CELEBRAR HOY, SIN MOTIVO, Y SE HA SEÑALADO NUEVAMENTE PARA EL PRÓXIMO 25 DE FEBRERO.


Los relatos de los hechos conocidos son los siguientes:

-Hemos sabido por fuentes de los activistas que el pasado 9 de Enero, el activista de Derechos Humanos, WAHID MUSTAFA HEDI, de la ciudad de Smara, y por participar en una manifestación pacifica, compareció el pasado 21de Enero de 2009, a las 11:00 horas de a mañana, ante el tribunal de Primera Instancia de El Aaiun, ocupado, siendo suspendido el juicio debido a los slóganes y cantos que realizo el activista, rehibindicando el derecho de Autodeterminacion e indepndencia del pueblo saharaui y de su tierra de la bastarda ocupación militar del corrupto Reino Alauita. Como consecuencia de la suspensión, se ha señalado nuevamente el juicio para hoy 4 de Febrero, habiendose suspendido nuevamente para el 25 de febrero . El activista esta encarcelado actualmente en la tristemente famosa, "Carcel Negra", centro de tortura marroqui de la población saharaui, alli ha sido torturado y golpeado brutalmente por el direcor de la carcel en persona, el pasado día 22, segun relatan las fuentes de la propia carcel, por las rehibindicaciones que hizo en la sede judicial el día anterior, el día 21.

LA MINURSO LANGUIDECE SIN VIGILAR LOS DERECHOS HUMANOS. ENTREVISTA CON JULIAN HARSTON, JEFE DE LA MINURSO.


4 de Fevereiro

Julian Harston: «Lo que haga Ross dependerá de si las partes quieren negociar o no». Son palabras que ha dicho el Jefe de la Minurso en una entrevista realizada en El Aaiun el 29 de enero de 2009.

El británico Julian Harston apura sus últimas semanas como jefe de la Misión de Naciones Unidas para el Referéndum en el Sahara Occidental (MINURSO).

¿Qué le ha parecido la visita de la delegación del Parlamento Europeo al Sahara?
Ha sido una visita positiva e importante. Algo novedoso, incluso si no fue del todo perfecta. Si han trabajado bien creo que hay que preguntarles a ellos. Sé que se han reunido con mucha gente de las dos tendencias.

¿Cuál es el futuro de la Minurso a corto plazo?
En la reunión del Consejo de Seguridad a finales de abril (para renovar el mandato de la Minurso) creo que se hablará del nuevo representante, de su gira y se tratará de retomar el proceso de Manhasset. Pienso que la misión seguirá aquí porque nada ha cambiado y los compromisos militares y la presencia de la ONU es importante.

¿Qué puede aportar Christopher Ross, el nuevo representante de Ban Ki Moon para el Sahara?
Es alguien que conoce esto muy bien. Habla árabe y ha trabajado en Argelia y Marruecos. Pero lo que vaya a hacer dependerá de si las partes quieren o no negociar. Él deberá crear el ambiente necesario para ello, pero si las partes no quieren... Creo que las cuatro reuniones de Manhasset que se han celebrado hasta ahora han sido un verdadero progreso.

Pero Marruecos tardó en aceptar a Ross.
Yo estuve fuera de aquella discusión. No sé si fue por culpa de la burocracia, si fue culpa de Marruecos... Finalmente está nombrado.

El último informe de Human Rights Watch pide que se amplíe el mandato de la Minurso para que pueda informar de violaciones sobre derechos humanos. ¿Qué opina?
Eso es decisión del Consejo de Seguridad. Yo ahora no tengo ni el mandato ni los medios para ello. Si el Consejo de Seguridad decide darnos los medios y nos encomienda el mandato, así lo haremos. Cada reunión que allí (en Nueva York) se celebra se habla de esto, pero hasta este momento no se nos ha encomendado.

En tal caso, ¿cómo se desarrollaría el trabajo de la Minurso?
No lo he analizado porque es sólo una posibilidad. Nunca ha habido en una misión vieja de mantenimiento de la paz como esta, la de Pakistán o la del Golán una misión de derechos humanos. En otras más recientes como la de Congo o la de Darfur, sí, pero no al menos en las antiguas como la del Sahara, que son casi cien por cien militares. Pero la misión de paz no es el único mecanismo. Mire usted la presencia de ONG marroquíes en la reunión del otro día (con europarlamentarios que viajaron a El Aaiún). Hay muchas otras formas y métodos de hacer seguimientos de los derechos humanos.

Amnistia Internacional denuncia ''hostigamiento'' marroquí a saharauis.


3 de Fevereiro

LAS AUTORIDADES MARROQUÍES 'HOSTIGARON' A DEFENSORES DE LOS DERECHOS HUMANOS EN EL SAHARA OCCIDENTAL QUE SE ENTREVISTARON CON UNA DELEGACIÓN DEL PARLAMENTO EUROPEO EN EL AAIÚN, SEGÚN DENUNCIÓ LA ORGANIZACIÓN AMNISTÍA INTERNACIONAL.

En un comunicado difundido hoy, Amnistia Internacional saluda las entrevistas de los europarlamentarios con disidentes saharauis y autoridades marroquíes, pero se muestra preocupada por los informes sobre el acoso que sufrieron los activistas en el curso de la visita.

'Amnistía Internacional llama a las autoridades marroquíes a preservar los derechos a la libertad de expresión, asamblea y asociación, y a permitir a los defensores de derechos humanos saharauis reunir y difundir información sin temor a represalias', señala la nota.

La delegación europarlamentaria 'ad hoc' para el Sahara Occidental visitó Marruecos y la ex colonia española esta semana para elaborar un informe sobre la situación de los derechos humanos en ese territorio, y destacó la libertad de movimientos facilitada por el Gobierno marroquí.

El martes visitaron, en medio de un gran dispositivo de seguridad, El Aaiún, donde tuvieron la oportunidad de escuchar a decenas de personas y asociaciones tanto pro marroquíes como a favor de la autodeterminación saharaui.

Según AI, las casas de varios activistas fueron rodeadas por las fuerzas de seguridad durante la visita y algunos de éstos fueron obstaculizados cuando intentaban llegar a las reuniones con la misión europea.

En el comunicado, la ONG señala que también recibió la denuncia de dos defensores de los derechos humanos miembros del Comité contra la Tortura de Dajla a los que se les impidió acceder al encuentro y fueron retenidos durante varias horas.

Dos activistas saharauis de Dajla son liberados.



2 de Fevereiro

DOS REPRESENTANTES DEL COMITÉ CONTRA LA TORTURA DE DAJLA QUE TENÍAN PREVISTO REUNIRSE EN LA TARDE DEL MARTES CON LA DELEGACIÓN DEL PARLAMENTO EUROPEO DE VISITA LOS TERRITORIOS OCUPADOS POR MARRUECOS EN EL SAHARA OCCIDENTAL, RACHID SGHYAR Y HAMIA AHMED MUSA, “FUERON LIBERADOS TRAS SUFRIR DUROS INTERROGATORIOS Y BRUTALIDAD” POR PARTE DE LA POLICÍA MARROQUÍ.

Ambos fueron “agredidos” por la policía cuando se dirigía a reunirse con los europarlamentarios e “introducidos a la fuerza en un vehículo policial marroquí”, informó al Servicio de Comunicación Saharaui en Canarias (SCSC) el presidente de la organización de defensa de los Derechos Humanos, El Mami Amar Salem.

Finalmente, los dos activistas del Comité Contra la Tortura de Dajla fueron liberados el martes a última hora de la noche, poco antes de las 23:00 horas. Rachid Sghyar, en la avenida de Bucraá de El Aaiún “después de ser sometido a durísimos interrogatorios” y “con una bolsa en la cabeza para que diera tiempo a sus captores de escapar antes de que pudiera identificar la matrícula del vehículo”, aseguraron los testigos en la zona.

Según relató el propio Rachid, la policía marroquí “temía todo el tiempo” causarle “heridas graves que revelaran posibles torturas” a la delegación parlamentaria europea, que se interesó desde el martes por el paradero y la situación de su compañero todavía desaparecido, aunque fue constantemente “amenazado de muerte” y “golpeado en puntos del cuerpo en los que no quedan marcas”, aseguró.

Hamia Ahmed Musa fue abandonado minutos después a unos kilómetros al norte de la capital saharaui, pero no se supo nada de él hasta un día después pues “los efectos de los golpes que no le dejaban moverse y el temor a las amenazas de muerte efectuadas por los agentes marroquíes impidieron que fuera localizado o comunicar con él” ya que, “además, le quitaron todas sus pertenencias, entre ellas, el móvil”, declaró el Comité Contra la Tortura de Dajla.

Se da la circunstancia que Hamia es hijo de otro desaparecido saharaui a manos de las autoridades marroquíes cuando éste era un niño. Tras su liberación, aseguró que sus captores le “repetían una y otra vez que iba a seguir el mismo camino que mi padre”, aseguró. (Servicio de Comunicación Saharaui de Canarias)

Detenciones y Torturas en el recivimiento de H´mad Hammad.‏

2 de Fevereiro





NUEVAS DETENCIONES, TORTURAS Y BLOQUEO POLICIAL MARROQUÍ EN LA ZONA PRÓXIMA AL BARRIO DE MAATALA, EN LA CAPITAL DEL SAHARA, EL AAIÚN, DESDE AYER VIERNES, CUANDO SE PRODUJO UNA IMPORTANTE CONCENTRACIÓN POPULAR PARA RECIBIR AL ACTIVISTA DE DERECHOS HUMANOS Y VICEPRESIDENTE DEL COMITÉ DE DEFENSA DEL DERECHO A LA AUTODETERMINACIÓN DEL PUEBLO DEL SAHARA OCCIDENTAL (CODAPSO), H´MAD HAMMAD, DECLARÓ EL PROPIO COMITÉ AL SERVICIO DE COMUNICACIÓN SAHARAUI EN CANARIAS (SCSC).

El activista regresaba un año y medio después de abandonar el territorio y tras recuperarse de una operación en la columna vertebral para curar las secuelas de la tortura sufrida a lo largo de su actividad. Llegó acompañado por Jose Manuel de la Fuente Serrano, presidente del Observatorio de los Drechos Humanos del Ilustre Colegio de Abogados de Badajoz y otros observadores.

Hamad, que llegó al aeropuerto de El Aaiún algo más tarde de las 10:00 de la mañana del viernes, se trasladó desde el aeródromo a casa de sus padres, cerca de Maatala. “Durante el trayecto fuimos seguidos por vehículos policiales camuflados y cuando llegamos al barrio encontramos todas las calles tomadas por policías marroquíes, tanto de uniforme como de paisano”, relató el activista.

Una vez llegados a casa de los padres de Hmad, numerosos ciudadanos saharauis se congregaban “ondeando banderas de la República Árabe Saharaui Democrática y coreando eslóganes favorables a la independencia” del territorio. Cientos de ellos más “eran bloqueados por los controles policiales marroquíes, muchos detenidos, maltratados y algunos permanecen en paradero desconocido”, indican los testigos. Además, “todo el que entra o sale de casa de la familia del activista es detenido e interrogado”, denuncian.

A las 22.30 comenzó su recibimiento la comitiva, que incluía, además de la familia Hamad a sus compañeros activistas de derechos humanos. Todos fueron recibidos con cuencos de leche por jóvenes activistas que llevaban la vestimenta tradicional saharaui, darra y melhfa.

En la ciudad de Aaiun se realizó una gran distribución de octavillas que pedían el derecho del pueblo saharaui a la autodeterminación y daban la bienvenida al defensor de derechos humanos Hmad Hamad, y en porque no tenían la posibilidad de salir en manifestación para expresar su opinión concerniente a este derecho debido a la represión impuesta por Marruecos en la región desde octubre de 1975.

Varias docenas de saharauis trataron de romper el sitio impuesto en los mencionados barrios, lo que condujo a la detención de muchos de ellos, entre otros el activista de derechos humanos Ismaili Hamada por una patrulla de seis policías uniformados, que le condujeron a una comisaría, donde ha estado retenido hasta las 15.00 horas del domingo 1 de febrero, donde fue interrogado. La policía confiscó su coche (Land Rover 4x4), documentos y el dinero que portaba el activista en esos momentos.

El interrogatorio se centró en la reunión que tuvo lugar entre activistas de derechos humanos y la delegación europea que visitó la región recientemente.

El ciudadano saharaui Sidi Med Aluatt también fue detenido tras preguntar sobre los motivos de la prohibición impuesta por las autoridades marroquíes al recibimiento de Hmad Hamad.

Entre los heridos, el anciano Zoghman Ibrahim (ver fotos) quien sufrió una profunda herida a la cabeza, fue llevado al hospital para que le cosieran con varios puntos de sutura. También resultaron heridos Sa’adani Alaya, Jamal Houssini, Lhbib Bourhimi y Lala Beilal.

También se impidió que algunos activistas de derechos humanos y otros ciudadanos tuvieran acceso a la casa de la familia de Hamad, como los activistas de derechos humanos Brahim Sabbar, Secretario General de la ASVDH, o Toufa Lmusaui Jadija Lhafed, madre del activista Said Beilal.

La policía marroquí encabezada por el oficial Aziz Anoush, responsable de una serie de violaciones de derechos humanos contra los ciudadanos saharauis, junto con el oficial Mustafa, conocido como Mousatj y Bouchaaib, no vacilaron en amenazar a los activistas Ahmed Sbai y Said Beilal, y atacaron Toubali Ibrahim, que fue herido y Mohamed Busaula, así como el ciudadano saharaui Fdaili Baih.

CONSTITUYEN DOS NUEVOS COMITÉS SAHARAUIS DE DEFENSA DE LOS DERECHOS HUMANOS EN DOS CIUDADES ( ASSA Y GULIMÍN).


Dos ciudades del Sur de Marruecos, de origen étnico y amplia población saharaui, Assa y Gulimín, constituyeron el 24 y 26 de enero, respectivamente, dos nuevas organizaciones de “vigilancia y observación” de los derechos fundamentales de los ciudadanos saharauis, el Comité Saharaui de Defensa de los Derechos Humanos de Assa (CSDDHA) y el Comité Saharaui de Defensa de los Derechos Humanos de Gulimín (CSDDHG), anunciaron ambas organizaciones en sendos comunicados fundacionales al Servicio de Comunicación Saharaui en Canarias (SCSC).


La organización de Assa, el CSDDHA, nace con el objetivo de “revelar y denunciar las la Nuevas detenciones, violaciones de Derechos Humanos cometidas por el Estado marroquí en el Sahara Occidental, sur de Marruecos y las universidades marroquíes contra la población saharaui”, indica la nota.

2 de Fevereiro

“Activistas de Derechos Humanos y antiguos prisioneros políticos saharauis en las cárceles marroquíes” forman el grueso de la nueva organización que decidió constituirse al pasado 24 de enero “para unir sus esfuerzos y lograr sus objetivos”, bajo la presidencia de Mustafa Tamek, ex preso político.

En el caso de Gulimín, también activistas y presos políticos, decidieron constituir el CSDDHG dos días después, el 26 de enero, “en la creencia en la importancia de la vigilancia y el control de los Derechos Humanos” así como de la “exposición de las graves violaciones” de tales derechos “cometidos por el Gobierno marroquí en el Sahara Occidental, las ciudades del sur de Marruecos y las universidades marroquíes”.

El CSDDHG, que preside el ex preso político Maliha Elmahyub, fundamenta su constitución “en la necesidad de contextualizar a nivel local el trabajo en defensa de los derechos fundamentales de los saharauis e implantar la cultura de los Derechos Humanos en la zona”, indica su comunicado. (SCSC)

5 de Fevereiro

CRÓNICA REALIZADA POR EL OBSERVATORIO DE DERECHOS HUMANOS DEL ILUSTRE COLEGIO DE ABOGADOS DE BADAJOZ, DE LAS TORTURAS Y DETENCIONES REALIZADAS EN LA LLEGADA A EL AAIUN DEL ACTIVISTA DE DERECHOS HUMANOS SAHARAUIS H´MAD HAMMAD.


Tras los acontecimientos que se vienen produciendo desde hace años en el Sahara Occidental, y tras años de observación en Juicios y procesos en el interior de Marruecos y en el Territorio del Sahara Occidental, pendiente de descolonización, decidimos entrar con el activista de Derechos Humanos H´mad Hammad, que tras año y medio en España regresaba a su tierra.

Al llegar al aeropuerto del Aaiun, aproximadamente a las 22,00 horas, había gran dispositivo policial y de seguridad marroquí, que controlaron todos nuestros movimientos, llegando incluso a la provocación verbal hacia el activista. Una vez fuera del aeródromo, se produjo un seguimiento por coches de policía camuflados, que siguieron en todo momento la circulación del vehículo donde nos encontrábamos, hasta que alcanzamos la zona próxima al barrio de Maatala, en la capital del Sahara, El Aaiun, el cual estaba fuertemente custodiado por fuerzas de seguridad, al llegar a las proximidades de la calle donde se encuentra la casa familiar del activista, se produjo una importante concentración popular para recibir al activista de Derechos Humanos y vicepresidente del Comité de Defensa del Derecho a la Autodeterminación del Pueblo del Sahara Occidental (CODAPSO), H´mad Hammad. El activista regresaba un año y medio después de abandonar el territorio y tras recuperarse de una operación en la columna vertebral para curar las secuelas de la tortura sufrida a lo largo de su actividad.
Acompañaban al vicepresidente de CODAPSO el Director del Observatorio de los Derechos Humanos del Colegio de Abogados de Badajoz, José Manuel de la Fuente Serrano y Dª Rosario García Díaz. Una vez llegados a casa de los padres de Hmad, observamos, como testigos privilegiados de esta recepción, numerosos ciudadanos saharauis que se congregaban, ondeando banderas de la República Árabe Saharaui Democrática y coreando eslóganes favorables a la independencia del territorio, hemos sido recibidos por jóvenes con la vestimenta tradicional saharaui que nos ofrecieron leche y dátiles. Cientos de saharauis más, según nos informaron, eran bloqueados por los controles policiales marroquíes, muchos detenidos, maltratados y algunos permanecían en paradero desconocido. Además, todo el que entraba o salía de la casa de la familia del activista era detenido e interrogado o amenazado, los barrios de Matal-la, y Elinach y el barrio colindante estaban cercados por policías y militares Marroquíes, a pesar de este férreo cerco, muchos ciudadanos saharauis intentaron romperlo para poder asistir el recibimiento de Hamad, lo que produjo muchas detenciones, y entre los detenidos el activista de derechos humanos y miembro del mismo Comité Alismaili Hamada y su amigo, los cuales fueron detenidos por una patrulla de la policía constituida por seis agentes, los detenidos fueron conducidos hacía la comisaría de la policía, como se nos comunico en el momento por testigos presénciales, donde le confiscaron su coche (marca Land-Rover), documentos y dinero. También ha sido detenido otro ciudadano saharaui, cuyo nombre es Sid Ahmed Aluat, que participaba en la fiesta dentro de la vivienda de la familia de Hmad, que andaba con muletas fruto, según se nos indicó, de las torturas recibidas, al ser ex-preso político.

Por otra parte muchos ciudadanos saharauis han sido heridos a causa de la carga policial, entre estos, el anciano Brahim Chein Zagman de 75 años, que igualmente compartió con todos nosotros la fiesta, y al retirarse de la misma, dada su avanzada edad, cuando salda por la puerta, pudimos ver como recibía un fuerte golpe de los policías de paisano, causándole una profunda brecha en la cabeza, trayéndolo hacia dentro los que se encontraba próximos, presos del pánico ante el ataque policial, y tras comprobar la gravedad de su estado, fue trasladado al hospital, donde fue curado, administrándole los calmantes para el golpe, y recibiendo tres puntos de sutura.

También la Srta. Saadani Aleya, el Sr. Yamal Alhuseini, el Sr. Lehbib Alburhimi y Lal-la Albailal.

Por otro lado, entre los que han sido impedidos visitar al Activista Hamad, podemos citar a Brahim Sabbar, Secretario General Asociación saharaui de victimas de las graves violaciones cometidas por el Estado Marroquí, también la Sra. Jadiya Elhafid, madre del activista Said Elbailal, y la Sra. Taufa Elmusaui.

Todos los policías que habían participado en estas detenciones y agresiones contra los indefensos saharauis, estaban dirigidos por el torturador marroquí Aziz Anoch, y el oficial Buchaib Mustafa conocido por Mustach (el bigote), los cuales amenazaron a los activistas de DDHH, Said Elbailal, y Sbaai Ahmed, como agredieron a Tobali Brahim, Mohamed Busoula, y Fadili Bueh.

Durante los tres días que permanecimos en la vivienda familiar, la casa y las calles aledañas, se encontraban llenas de policía de paisano y de uniforme, furgones de la policía GUS (fuerzas marroquíes antidisturbios), que en todo momento, en actitud amenazante intimidaban y controlaban a los que salían y entraban de la casa. Algunas de las mujeres que acudieron a la fiesta, y por el temor a la policía, hubieron de ser acompañadas por familiares y amigos hasta su domicilio, y los activistas permanecieron en la vivienda sin salir ante el temor de la brutal represión.

La situación vivida es de temor a la represión constante, temiendo en todo momento por la integridad de cuantos nos encontrábamos en la vivienda, y ante la amenaza de una entrada violenta en la vivienda, que hubiera provocado decenas de heridos, tratamos de mantener la calma, proporcionar tranquilidad a las mujeres y niños que allí se encontraban, y manteniendo en todo momento contacto telefónico con nuestro Observatorio de Derechos Humanos ante una posible intervención policial violenta.

Hemos podido mantener numerosas entrevistas y recogido testimonios de activistas, que acudieron a la casa a recibir al activista, como SIDI MOHAMED DADACH, presidente de CODAPSO, SAID BEILLAL y BABA ALI BAIBBA ambos miembros del mismo comité, SIDAHMED LEMJEID, presidente del CSPRON, BRAHIM SABBAR, secretario General de ASVDH, BRAHIM DAHAN , presidente de ASVDH, DAHA RAHMOUNI y AHMED SBAI miembros de la misma, y otros, que expresaron su repulsa por estos terribles acontecimientos relatándonos sus testimonios.

Nuevas detenciones, torturas y bloqueo policial en el Sáhara Occidental ocupado


2 de Fevereiro 2009

LA OPINIÓN | SANTA CRUZ DE TENERIFE Nuevas detenciones, torturas y bloqueo policial marroquí en la zona próxima al barrio de Maatala, en la capital del Sáhara, El Aaiún, desde el pasado viernes, cuando se produjo una importante concentración popular para recibir al activista de Derechos Humanos y vicepresidente del Comité de Defensa del Derecho a la Autodeterminación del Pueblo del Sáhara Occidental (Codapso), H´mad Hammad, declaró el propio Comité al Servicio de Comunicación Saharaui en Canarias (SCSC). El activista regresaba un año y medio después de abandonar el territorio y tras recuperarse de una operación en la columna vertebral para curar las secuelas de la tortura sufrida a lo largo de su actividad.
Hammad, que llegó al aeropuerto de El Aaiún algo más tarde de las 10:00 de la mañana del viernes, se trasladó desde el aeródromo a casa de sus padres, cerca de Maatala. "Durante el trayecto fuimos seguidos por vehículos policiales camuflados y cuando llegamos al barrio encontramos todas las calles tomadas por policías marroquíes, tanto de uniforme como de paisano", relató el activista. Acompañaban al vicepresidente de Codapso varios observadores españoles, entre los que estaba el presidente del Observatorio de los Derechos Humanos del Colegio de Abogados de Badajoz, José Manuel de la Fuente.
Una vez llegados a casa de los padres de H´mad, numerosos ciudadanos saharauis se congregaban "ondeando banderas de la República Árabe Saharaui Democrática y coreando eslóganes favorables a la independencia" del territorio. Cientos de ellos más "eran bloqueados por los controles policiales marroquíes, muchos detenidos, maltratados y algunos permanecen en paradero desconocido", indican los testigos. Además, "todo el que entra o sale de casa de la familia del activista es detenido e interrogado", denuncian.
Por otro lado, los dos representantes del Comité Contra la Tortura de Dajla que tenían previsto reunirse en la tarde de mañana con la delegación del Parlamento Europeo de visita los territorios ocupados por Marruecos en el Sáhara Occidental, Rachid Sghyar y Hamia Ahmed Musa, "fueron liberados tras sufrir duros interrogatorios y brutalidad" por parte de la policía marroquí.

Fuente:http://www.laopinion.es/secciones/noticia.jsp?pRef=2009020200_7_197371__Internacional-Nuevas-detenciones-torturas-bloqueo-policial-Sahara-Occidental-ocupado

"Un agente me empujó y caí al vacío"


26 de Janeiro 2009

Un estudiante saharaui dice que la policía marroquí le tiró desde un cuarto piso
"Nunca subían hasta allí. Por eso, cuando había manifestaciones y nos perseguía la policía, nos escondíamos en la azotea de la residencia de estudiantes. Pero ese día sí subieron. Eran unos 20 ó 30 agentes, no sé. Yo estaba con dos amigos. Nos pegaron. Nos insultaron. A mí me fueron llevando, a golpes, hasta el borde del edificio. 'O te tiras o te tiro, perro saharaui', me dijo un policía. Me empujó y caí". Elwali Elqadmi, de 23 años, recorrió en un segundo el vacío de las cuatro plantas de la residencia de la Universidad de Marrakech. Era el 14 de mayo de 2008. El Gobierno marroquí niega, a través de un portavoz de su embajada en España, que sus fuerzas del orden participasen en este suceso. "Negamos que ningún estudiante haya sido arrojado por agentes de seguridad marroquí desde la azotea de una residencia en la universidad de Marrakech", señalan.

El brutal aterrizaje le fracturó a Elwali sus dos piernas, el brazo izquierdo y le abrió el cráneo, recuerda Labeid, el traductor que le acompaña estos días en Córdoba. Allí, el saharaui está ingresado en el centro de rehabilitación de Fepamic (Federación Provincial de Asociaciones de Minusválidos Físicos de Córdoba). Y es que las peores lesiones las sufrió el joven estudiante de 3º de Sociología en su columna vertebral. Tiene rota la quinta vértebra y una fisura en la sexta. Sus heridas le han dejado en una silla de ruedas. No puede caminar y mueve con dificultad sus brazos.

Elwali es delgado y risueño. Sonríe a pesar del drama que le ha golpeado. "Hay que ser optimista y seguir adelante", dice sin dudarlo. Y cuenta su historia: "Dejé Assa, mi ciudad en Sáhara por dos cosas. Por un lado, sólo podía continuar mis estudios en Marrakech. Por otro, quería llevar a Marruecos la lucha del pueblo saharaui por su libertad", explica. Desde muy pronto, Elwali participó en marchas y actos en defensa de la independencia de la antigua colonia española del Sáhara Occidental. La que llegó a ser considerada una provincia más, fue invadida por Marruecos en 1976, lo que provocó una larga guerra entre los independentistas del Frente Polisario y el ejército del rey Hassan II. Además, cientos de miles de saharauis huyeron a los campos de refugiados de Tinduf, en Argelia. Elwali Elqadmi era un activista saharaui en el corazón de la vigilada sociedad marroquí, custodiada estrechamente por las fuerzas de seguridad. "A mí me conocía la policía. De eso estoy seguro", zanja el joven, que ya había corrido más de una vez delante de los antidisturbios en protestas tanto nacionalistas, como estudiantiles, que exigían mejoras en la enseñanza.

La manifestación de mayo que derivó en la tragedia de Elwali fue de éstas últimas. "Llevábamos unos meses quejándonos por las malas condiciones del campus y de los estudios universitarios en general. Además, poco antes de la manifestación, tres alumnos se intoxicaron por alimentos en mal estado. Ese fue el detonante de la concentración", señala.

La marcha del día 23 discurrió pacíficamente por el recinto universitario, ya que los estudiantes no tenían permiso para salir fuera. Según recuerda Elwali, la policía rodeó todo el campus. "Una vez que obtuvieron permiso del rector, entraron. Tiraban botes de humo y pelotas de goma. Todos los estudiantes corrimos. La policía nos perseguía con porras. Yo me refugié con dos amigos en la azotea de la residencia de estudiantes, pensando que no subirían hasta allí".

Minutos después, Elwali terminaba estrellado en el suelo, frente a los dormitorios de la residencia masculina. "Tras la caída no perdí el conocimiento. Me dolía terriblemente la cabeza. Pasaron dos horas y media hasta que me atendieron. Todo el mundo corría de un lado a otro. Al terminar todo, se dieron cuenta de mi estado. Me sacaron en una de las primeras ambulancias".

En el hospital de Marrakech fue operado de sus heridas. "Fueron unos meses terribles, lo pasé muy mal, con muchos dolores". Sus padres vendieron su vivienda de Assa para poder pagarle una clínica privada en Marruecos, donde esperaban que recibiese mejor trato. Finalmente, su historia fue conocida por una plataforma de asociaciones de apoyo al pueblo saharaui de Córdoba, que consiguieron trasladar al joven a la ciudad andaluza a finales de diciembre.

Ahora espera ingresar en el hospital de Parapléjicos de Toledo para seguir su tratamiento y lograr la mayor autonomía posible. "Luego volveré al Sáhara. Quiero seguir luchando por mi pueblo", dice.

Fuente: http://www.elpais.com:80/articulo/andalucia/agente/empujo/cai/vacio/elpepuespand/20090125elpand_7/Tes

Communiqué CODESA


28 de Janeiro 2009

Communiqué

Dans le cadre de la visite de la Commission Parlementaire Européenne à la ville de Laayoune au Sahara Occidental ; une délégation représentant le Collectif des Défenseurs des droits de l’home CODESA a été reçue par la commission le 27 Janvier 2009 à16H 30 à l’hôtel Parador .
Le groupe représentant le CODESA a été composé de :

-AMINATOU HAIDAR Présidente du Codesa ,laureat du R F K Award 2008
-FATMA AYACH
-ALI SALEM TAMEK
-LAARBI MESSOUD
-ALLAL LATIF
-BRAHIM ISSMAILI
-LHOUCINE LIDRI

La réunion avec membres de la Commission Parlementaire Européenne qui a duré 1 heure et 10 mn s’est axée sur les sujets suivants :

-La situation des droits de l’home dans les territoires occupés du Sahara Occidental, au sud du Maroce, et dans les universités marocaines ou les étudiants Sahraouis poursuivent leurs études.

-La situation des défenseurs Sahraouis des droits de l’home.

-La situation des prisonniers politiques et défenseurs du droit de l’home Sahraouis dans les prisons marocaines.

Par ailleurs il est à rappeler que cette courte visite de la Commission Parlementaire
Européenne à Laayoune /Sahara Occidental ,qui a été d’ailleurs reporté à plusieurs reprises s’est déroulée dans une atmosphère caractérisée par le renforcement de des mesures répressives, la fermeture de toute les rentrées de la ville, la fermeture de tous les accès menant à l’hôtel Parador ou séjourne la commission, l’encerclement des quartiers à forte présence sahraouie, et la multiplication des intimidations contre les défenseurs des droits de l’home et les citoyens sahraouis.

Le Bureau Exécutif du CODESA

Laayoune/Sahara Occidental le 28 /01/09

La misión del Europarlamento recibe un aluvión de quejas en el Sahara


28 de Janeiro 2009

ABC. LUIS DE VEGA EL AAIÚN Publicado Miércoles, 28-01-09 a las 03:27


La «Pasionaria saharaui», Aminatu Haidar, recibió ayer en El Aaiún, junto a otros activistas de derechos humanos, a una delegación de cinco europarlamentarios, que pudieron escucharles y comprobar sobre el terreno la realidad de la ex colonia española, que suele estar cerrada a este tipo de visitas.Entre los diputados se encontraban dos españoles, el popular Carlos Iturgáiz y el socialista Carlos Carnero, que sin dar crédito al bloqueo al que los agentes marroquíes estaban sometiendo el hotel donde se celebraban las reuniones, salieron a la calle a rescatar a algunos de los activistas. Se vivieron momentos de tensión que no impidieron que los encuentros, en los que participaron proindependentistas y proRabat, se celebraran.El Parlamento Europeo intensificó sus llamadas a las puertas del Sahara Occidental sobre todo desde que en 2005 tuvo lugar la denominada «Intifada», pero la respuesta de Rabat fue siempre la misma: no. La llave para que finalmente se abriera la ex colonia a los eurodiputados, como ellos mismos reconocen, ha sido el estatuto avanzado que la UE acaba de conceder a Marruecos.«Pillaje»Las denuncias llovieron sobre la comisión de la Unión Europea, cuya presencia en el Sahara también fue aplaudida, según relató a ABC Aminatu Haidar al salir del Hotel Parador, inaugurado por Manuel Fraga en la época española. Se quejan del «pillaje» que supone la explotación por parte de Rabat de los recursos naturales del territorio y se quejan también del estatuto avanzado concedido a Marruecos sin que éste respete los derechos humanos, sobre todo en todo lo concerniente al «derecho de autodeterminación del pueblo saharaui ocupado por Marruecos». «Hacemos un llamamiento urgente a Europa para que defienda los derechos humanos, los civiles, los sociales y los económicos de los saharauis», añadió Haidar minutos antes de ser retenida de nuevo al regresar a su casa. Mientras esta activista hacía declaraciones, un hombre se medio desnudaba al grito de «¡Viva el Rey! y ¡Sahara marroquí!», para después señalar heridas en su cuerpo que, según aseguró, habían sido causadas por el Polisario.Hussein Beida, un saharaui que militó con los independentistas antes de saltar al lado marroquí, considera que los europarlamentarios, que también se reunieron con el gobernador de El Aaiún y con el jefe de la misión de la Organización de las Naciones Unidas, la llamada Minurso, deberían ir a completar su trabajo a los campamentos de Tinduf.«Entre la autonomía que proponen los marroquíes y la independencia de los saharauis, lo más importante son los derechos humanos», señaló durante la reunión Galia Eljimi, de la ASVDH. «Me quedo con esa frase», señaló Iturgáiz.Esta visita es «histórica», dijeron miembros de la delegación europea, que al cierre de esta edición tenía la sala donde recibía como una consulta del médico a la que no dejan de llegar pacientes con una enfermedad común: el Sahara.

---------------------------

Marruecos toma El Aaiún para impedir manifestacionesPrimera visita al Sáhara de miembros de la EurocámaraEL PAIS. IGNACIO CEMBRERO - Madrid - 28/01/2009


Los cuatro eurodiputados y sus asistentes se echaron a la calle para ir en búsqueda de Aminatu Haidar, la Pasionaria del independentismo saharaui, a la que la policía marroquí puso trabas para que llegara a la cita.Al final Haidar y todos los demás abanderados del nacionalismo saharaui, como Alí Salem Tamek, o de la defensa de los derechos humanos, como Hamdu Iguilid, acudieron al antiguo Parador de El Aaiún para reunirse con una delegación del Parlamento Europeo.La cita era importante. Tras más de tres años de gestiones con Rabat, cuatro eurodiputados -Ioannes Kasoulides, Luca Romagnoli y los españoles Carlos Iturgaix y Carlos Carnero- visitaban, por fin, el Sáhara Occidental para elaborar un informe sobre derechos humanos.Todos sus interlocutores saharauis respaldaron el documento, muy crítico con Marruecos, que difundió en diciembre la ONG Human Rights Watch y alguno, como Iguilid, insinuó que se había quedado corto. Pidieron al unísono que se instaure en la antigua colonia española un mecanismo de supervisión de los derechos humanos, algo a lo que se resiste Rabat.El Aaiún, en cuyas calles hay siempre una fuerte presencia policial, apareció tomada por las fuerzas de seguridad. "Con uniforme o de paisano hay policías por todas partes", afirmó Iguilid cuando iba de camino al Parador. Aún así, Rabat permitió las reuniones y nadie faltó a la reunión con la delegación.

Comite de apoyo al plan de arreglo de naciones unidas


28 de Janeiro 2009

El AAIUN
28/01/2009

Les fue denegada la entrada al hotel PARADOR de la ciudad saharaui del AAIUN a algunos miembros del comite de apoyo al plan de arreglo de naciones unidas y la proteccion de los recursos naturales del Sahara Occidental (CSPRON) por parte de las fuerzas de seguridad Marroqui para impedir que sean entrevistados con la comision parlamentaria europea que visito la zona para realizar un informe sobre la violacion de los derechos humanos en el Sahara por parte del regimen Marroqui, los impedidos son ALI SALEM BABEYT y ABDEL HAY AHMED TOUBALI en contra pudo el presidente SIDAHMED LEMJIYED entrar despues de una fuerte disputa con las fuerzas de seguridad el cual puso una denuncia ante la comision , la cual hizo una solicitud a los cuerpos de seguridad permitiendo estos a ultima hora (21.30) la entrada de los impedidos senalados anteriormente.

Se debe indicar de que el lugar de encuentro con las asociaciones civiles saharauis que es el antiguo hotel PARADOR del AAIUN fue asediado fuertemente por los cuerpos de seguridad vestidos de uniforme y de paisano hasta el punto de prohibir el paso y el acercamiento a todos los daharauis sobre todos los activistas de derechos humanos tambien les fue impedida la entrada a los activistas de la asociacion Marroqui de defensa de los derechos humanos del AAIUN dos veces para posteriormente darles permiso para su entrada.

Tambien les fue denegada la entrada a los representantes de la confederacion de comisiones obreras saharauis DIA SIDAHMED MOUSA – HALAB BACHIR – SAAIDI HOUSEIN todo lo anterior con la detencion del activista RACHID SGAYR que fue puesto en libertad posteriormente sobre las 21.00 y la detencion de HAYMA AHMED que sigue detenido y lesionado el activista MAHAYOUB AWLAD CHEIKH una lesion grave en la pierna derecha y que sigue en cama, tambien fueron lesionadas las activistas saharauis DEIRAA MAILAMNIN y HDAYDHAM MENT LAAROUSI .

Por todo lo anterior el comite de apoyo al plan de arreglo de naciones unidas y la proteccion de los recursos naturales del Sahara Occidental (CSPRON) expresa su rotunda repulsa por esta actitud de impedimiento de entrada de sus miembros y solicita se tomen todas las medidas para que sea levantado este bloqueo militar y de seguridad puesto por las autoridades Marroquis en el sahara.

Consejo ejecutivo de CSPRON

Sahara: Torturan y detienen a varios activistas de DD.HH. que se iban a reunir con los europarlamentarios


28 de Janeiro 2009

Hamia Ahmed Musa y Rachid Sghyar, del Comité contra la Tortura de Dajla, permanecen en paradero desconocido desde esta tardeEl Aaiún.- Los tres representantes del Comité Contra la Tortura de Dajla, Hamia Ahmed Musa, Ualad Chej Mahyub y Rachid Sghyar, que tenían previsto reunirse en la tarde de ayer, martes, con la delegación del Parlamento Europeo que visita los territorios ocupados por Marruecos en el Sahara Occidental, fueron “agredidos brutalmente” por la policía marroquí cuando se dirigían a este encuentro previsto en el Hotel Parador de la capital saharaui, El Aaiún, informó al Servicio de Comunicación Saharaui en Canarias el presidente del citado Comité de defensa de los Derechos Humanos, El Mami Amar Salem.Las calles de la ciudad permanecen “bajo un férreo control policial” con motivo de la visita de los europarlamentarios y “numerosos agentes de paisano controlan todas las calles de acceso al hotel donde se aloja la delegación europea”, indicaron los activistas. Fue precisamente cuando se dirigían al Hotel Parador, cuando los tres miembros del Comité Contra la Tortura de Dajla “fueron parados en un control” y, tras indicar el motivo de su presencia en la ciudad y que se dirigían a la reunión prevista, “fueron torturados en plena calle” y, dos de ellos, Hamia Ahmed Musa y Rachid Sghyar, “detenidos e introducidos en un vehículo policial”, indican las fuentes.El tercero, Ualad Chej Mahyub, logró alcanzar el hotel y esperó a que llegara su turno para entrevistarse con la delegación de Estrasburgo, “con graves heridas en las piernas”, asegura el Comité contra la Tortura de Dajla. Por la noche, aún se desconocía el paradero y la situación de los dos activistas de derechos humanos detenidos, pero fuentes en la ciudad saharaui expresaron su temor a que estuvieran sufriendo nuevas “torturas en dependencias policiales”.Otros activistas saharauis de Derechos Humanos, como Aminetu Haidar y Ali Salem Tamek, denunciaron haber sido “retenidos, interrogados y presionados” por los agentes marroquíes después de mantener su respectiva reunión con la delegación del Parlamento de Estrasburgo. (SCSC)

Communiqué CONFEDERACION SINDICAL DE COMISIONES


27 de Janeiro 2009

Suite a la visite de la délégation Adhoc du parlement européen a la ville de laayoune le Mardi 27 janvier 2009 , les autorités marocaines a entamé un embargo sur le lieu de la rencontre , elle a constitué une ceinture de police sur toutes les chemins qui mène a l’hôtel pardor , c’est pour cela que les syndicalistes sahraouis : EDDIA SIDI AHMED MOUSSA , HALLAB BACHIR KHALIL et HOSSEIN SAIDI ont été empêché par la force de rejoindre le lieu de la délégation a fin de traiter le dossier des travailleurs sahraouis des administrations espagnoles et le dossier des travailleurs de phosboucraa , et discuter les problèmes relatifs avec la délégation européenne .
A cet effet, la CC.OO.S. Déclare a l’opinion public national et international ce qui suit :
- Mettre sous réserve la méthode, le lieu et le programme de la visite.
- assumé la responsabilité et les conséquences de cet empêchement aux autorités marocaines.
- la levé immédiat de l’embargo exercé sur les syndicalistes sahraouis.
- solliciter aux syndicats et organisations internationales l’intervention a fin protéger les syndicats sahraouis.

CC.OO.S
LAAYOUNE , LE 27 JANVIER 2009

LETTRE DESTINEE AUX DISTINGUES MEMBRES DE LA MISSION DU PARLEMENT EUROPEEN EN VISITE AU MAROC ET AU SAHARA OCCIDENTAL


27 de Janeiro 2009

Les Associations sahraouies activant dans le domaine des droits de l’homme sont honorées de vous adresser cette lettre, à travers laquelle elles tiennent à vous exprimer, tout d’abord, la bienvenue et manifester l’immense joie de prendre part à cette rencontre que nous avons tant attendue.
Aussi, nous saisissons cette heureuse occasion pour vous faire part de notre vive préoccupation face à la persistance des violations des droits de l’homme au Sahara Occidental, accompagnées de sévices très graves contre les populations civiles sahraouies de manière générale et les défenseurs sahraouis des droits humains de manière particulière. Cette situation est, bien entendu, la résultante d’un conflit politico-militaire qui perdure depuis plus de plus de trois décennies tout au long desquelles il a contribué au climat de grande frustration qui s’est installé et accentué les souffrances d’une population, victime de toutes les discriminations, de toutes les humiliations, et privée de son droit au respect et à la dignité humaine.
Les Associations sahraouies sont conscientes de l’importance du rôle de l’Union européenne et de ses institutions, en tant que force de stabilité et de coopération dans le monde, pouvant bannir toute forme d’injustice et étendre un climat de paix et de sécurité au-delà de ses frontières.
A cet effet, nous exhortons le Parlement européen et, à travers lui l’Union européenne à :
* jouer un rôle central en faveur d’une solution du conflit du Sahara Occidental, conforme à la légalité internationale et aux multiples résolutions des Nations Unies qui appellent pour le respect du droit imprescriptible du peuple sahraoui à l’autodétermination à travers la tenue d’un référendum libre et démocratique permettant à ce peuple de choisir librement son devenir. Une solution définitive du conflit du Sahara Occidental, basée sur le droit international ne manquera pas, nous n’avons pas l’ombre d’un doute là dessus, d’ouvrir la voie devant l’édification d’un Maghreb qui bannit l’exclusion et la négation, un Maghreb uni, réconcilié, stable et prospère. L’Europe, de par les liens privilégiés qu’elle entretient avec le Maroc, doit faire pression sur celui-ci et l’amener à se conformer à la légalité internationale en acceptant l’organisation d’un référendum pour appliquer le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui dans les plus brefs délais.
* oeuvrer pour l’application de la recommandation de l’organisation Américaine, Human Rights Watch, appelant à l’instauration d’un mécanisme onusien pour le contrôle et le respect des droits de l’homme dans le territoire
* revendiquer la publication du rapport de la commission du haut commissariat des droits de l’homme qui a visité le territoire le 17 mai 2006
Et nous espérons que l’évolution des relations, économiques, sociales et politiques, entre l’Union Européenne et le Royaume du Maroc, aidera à contraindre celui-ci à se résigner à la légitimité internationale, surtout après le statut avancé accordé au Maroc octobre 2008.
Etant donné que la question des ressources constitue un aspect particulier mais très important du problème plus général du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et à décider de leurs richesses, nous considérons que l’accord de pêche, signé entre l’Europe et le Maroc incluant les eaux territoriales sahraouies est contraire au droit international en ce qu’il ne respecte aucunement le statut juridique reconnu au Sahara Occidental.
L’avis du bureau juridique du Conseil de sécurité du 29 janvier 2002 a rappelé opportunément le statut de territoire non autonome du Sahara Occidental qui demeure, depuis 1963 inscrit sur la liste onusienne des territoires non autonomes. Et si l’on se réfère à toutes les résolutions de l’ONU et à l’article 73 de la charte de cette organisation, l’on peut constater aisément que cette dernière a développé des règles régissant la sauvegarde des ressources naturelles des territoires autonomes, règles qui doivent, aussi, être respectées au Sahara Occidental.
Aussi, il est utile de souligner que si l’accord entre les deux parties comporte un paragraphe concernant des arrangements sur des retombées positives pour la population sahraouie dans le but, bien évident, de donner une sorte de légitimité au dit accord ! cette même population ne tirera aucun bénéfice dès lors qu’il n’existe ni mécanisme pour l’exécution de cela, ni garantie pour son application.
Nous soussignées, Associations sahraouies activant dans le domaine des droits de l’homme, souhaitons que la visite de la mission du Parlement européen ouvre la voie devant une nouvelle ère, qui espérons le, sera marquée par le maintien de liens et contacts solides et fructueux entre l’Union européenne et les Associations sahraouies activant dans le domaine des droits de l’homme, mais nous formulons, également l’espoir que l’Europe contribue à la solution du conflit du Sahara Occidental sur la base d’un référendum libre et démocratique permettant à son peuple de choisir librement son destin.
Les Associations sahraouies signataires :
· Association sahraouie des victimes des graves violations des droits de l’homme. commises par le Maroc (ASVDH)
· Le Comité de défense du droit à l’autodétermination du peuple du Sahara Occidental (CODAPSO)
· L’alliance de défense des prisonniers sahraouis
· Le Comité sahraoui de défense des droits de l’homme à Smara/Sahara Occidental
· Le Comité de défense du Plan de règlement et des ressources naturelles au Sahara Occidental
· Le Comité des familles de disparus sahraouis
· Le Comité des familles et mères des 15 jeunes enlevés
· Le Comité contre la torture à Dakhla /Sahara Occidental

El Ayoun, le 27 janvier 2009

English
LETTER FOR THE DISTINGUISHED MEMBERS OF THE MISSION OF THE EUROPEAN PARLIAMENT VISIT TO MOROCCO AND WESTERN SAHARA

The Sahrawi associations active in the field of human rights are honored to send you this letter, through which they wish to express, first of all, welcome and to express the immense joy to take part in this meeting that we have long awaited.

Also, we take this opportunity to share with you our deep concern at the continuing violations of human rights in Western Sahara, with very serious abuses against the Sahrawi civilians in general and the Sahrawi human rights defenders specifically. This is, of course, the result of a political and military conflict that has lasted more than three decades during which it contributed to the climate of frustration that has installed and increased the suffering of a population victim to all forms of discrimination, all the humiliations and deprivations of their right to respect and human dignity.

The Sahrawi associations are aware of the importance of the European Union and its institutions as a force for stability and cooperation in the world that can ban all forms of injustice and spread an atmosphere of peace and security beyond its borders.

To this end, we urge the European Parliament and, through it the European Union, to play a central role in a solution to the conflict in Western Sahara, in conformity with international law and the multiple UN resolutions that call for respect for the inalienable right of the Sahrawi people to self-determination through the holding of a free and democratic referendum allowing the people to freely choose their future.

A definitive solution to the conflict in Western Sahara, based on international law will not fail, we have no doubt about that, to pave the way to building Greater Maghreb without exclusion and denial, a Maghreb united, reconciled, stable and prosperous. Europe, which maintains close ties with Morocco, should put pressure on it and bring it to comply with international law by accepting the holding of a referendum to implement the right to self-determination of the Sahrawi people as soon as possible.

Since the issue of resources is a particular aspect of the very important but more general problem of the right of peoples to self-determination and to decide their wealth, we believe that the fisheries agreement signed between Europe and Morocco, including the territorial waters of Western Sahara was contrary to international law in that it does no recognized legal status in the Western Sahara.

The legal opinion of the Under-Secretary-General for Legal Affairs of the United Nations, in its letter of 29 January 2002 addressed to the President of the Security Council, has rightly highlighted the non-self-governing status of the territory of Western Sahara, which remains since 1963 on the list UN Non-Self-Governing Territories. If we look at all the UN resolutions and Article 73 of the Charter of the United Nations, we can easily see that it has developed rules governing the preservation of natural resources in non-self-governing territories, rules that must also be respected in Western Sahara.

Also, it is worth noting that the fishing accord between Morocco and the European Union contains a paragraph on arrangements to bring benefits to the Saharawi population with the aim, obviously, to give some sort of legitimacy to that Agreement! This population has not received any benefit when there is no mechanism to implement it, nor guarantee its implementation.

We signed the undersigned Sahrawi associations, active in the field of human rights, hope that the mission of the European Parliament paves the way to a new era, which hopefully will be marked by continued strong links and contacts, and a productive partnership between the EU and the Sahrawi associations active in the field of human rights, but we also hope that Europe will contributes to the solution of the conflict in Western Sahara on the basis of a free and democratic referendum enabling its people to freely choose their destiny.

The Sahrawi associations signatories:

- Sahrawi Association of Victims of Grave Human Rights Violations Committed by the Moroccan State (ASVDH)

- Defence Committee for the Right of Self-Determination of the People of Western Sahara (CODAPSO)

- The Sahrawi Prisoners Defence Alliance

- The Saharawi Committee for the Defence of Human Rights in Smara / Western Sahara

- The Defense Committee for the Settlement Plan and Natural Resources in Western Sahara

- The Committee of Families of Disappeared Sahrawis

- The Committee of the Families and Mothers of the Abducted 15 Youths

- The Committee Against Torture in Dakhla / Sahara Occidental

- The Committee of the Families of the Matyres
El Ayoun, on 27 January 2009

27 de Janeiro 2009

Association Marocaine des Droits Humains
Section Laayoune - Sahara

Laayoune, 27 Janvier 2009
Déclaration
Dans le cadre d'une visite de la mission du le Parlement européen à Laayoune - Sahara, les membres de cette dernière ont contacté la section de l’AMDH afin d'examiner la situation des droits humains dans la ville. En réponse à cet appel, les membres du bureau de la section se sont déplacés à l’hôtel Parador, lieu de la réunion, vers 17h GMT. Mais les agents de la police, en civil, les ont empêché d'atteindre le lieu de la réunion, sous prétexte qu’ils doivent fournir leurs cartes d’identité et une convocation, alors que la mission elle-même n’a contacté le bureau de la section que par téléphone. Suite à cet persistance, les membres du Bureau ont considéré ce comportement comme interdiction et se sont retirés tout en portant les autorités pour responsable de cet acte qui s'inscrit dans le cadre des restrictions sur les libertés publiques et en particulier conte la section l'Association Marocaine des Droits Humains à Laayoune - Sahara.

Une fois les membres de la mission Européenne ont pris connaissance de cette interdiction, ils ont contacté les membres du bureau de la section de l’AMDH pour les prier de revenir au lieu de la réunion. Mais une fois de plus, les membres du bureau ont été interdit d’accéder à l’hôtel, cette fois ci sous prétexte que les noms des membres du bureau les n’apparaissent pas sur les listes des agents de la police. Devant cette nouvelle interdiction, les membres du bureau ont appelé le coordinateur de la mission du parlement européen, qui est venu les accompagner en personne au lieu de la réunion.
Une demi heure plus tard, les membres du bureau ont tenu alors une réunion avec les membres de la mission durant laquelle ils ont présenté un rapport sur l'état des droits de l'homme dans la ville de Laayoune - Sahara, et sur les harcèlements que subit la section de l’AMDH, et aussi sur la situation générale entourant la visite de la mission. De même, les membres du bureau ont aussi fait état de leur interdiction ainsi que l’interdiction d'autres citoyens d’accéder au lieu de la réunion.

Dans ce contexte, la section de l'Association marocaine des droits humains à Laayoune - Sahara, exprime sa ferme condamnation de la prévention qui a touché les membres de son bureau ainsi et considère l'embargo imposé autour de l’hôtel Parador comme élément d’une politique de restrictions sur les libertés publiques ville.

Le Bureau

Retienen a Aminetu Haidar y Ali Salem Tamek tras su reunión con los europarlamentarios


27 de Janeiro 2009

CANARIAS 24 HORAS. Isabel Pérez Navarro

martes, 27 de enero de 2009Rabat/ Fuentes de la delegación 'ad hoc' del Parlamento Europeo que se encuentra en estos momentos en El Aaiún, Sahara Occidental, han informado a ACN Press de que los activistas Amminatou Haidar y Ali Salem Tamek, miembros del colectivo de Saharauis Defensores de los Derechos del Hombre, fueron retenidos esta tarde por elementos del orden marroquíes tras la reunión que mantuvieron con la delegación."Nos han llamado ellos mismos por teléfono para alertarnos mientras estábamos reunidos con Djimi El-Ghalia", de la asociación de Víctimas de Violaciones Graves de los Derechos Humanos (ASVDH), explican al otro lado del teléfono fuentes de la delegación. Al parecer, los dos saharauis fueron retenidos por la Policía una vez se disponían a abandonar el hotel donde habían mantenido minutos antes la reunión prevista con los europarlamentarios, y "en el que se citaron muchos grupos de saharauis que no estaban previstos".Según las mismas fuentes, "Haidar se encuentra en estos momentos ya en su casa, rodeada de fuertes medidas de seguridad". A pesar del "contratiempo", la delegación ha querido subrayar que están cumpliendo con todo su programa y han calificado la visita de "histórica", al ser la primera vez que la delegación -creada hace tres años- cuenta con el permiso de Marruecos, "que ha colaborado en todo momento", para poder pulsar la situación de los Derechos Humanos en el Sahara Occidental reuniéndose con actores de ambas partes
Los saharauis piden al Parlamento Europeo respeto para los derechos humanos
Una delegación de la Eurocámara visita, por primera vez, el Sáhara Occidental
I. CEMBRERO - Madrid - 27/01/2009
Aminatou Haidar, a la que los saharauis independentistas llaman su "Pasionaria", tuvo dificultades para llegar al lugar de la cita a causa, según explicó, del acoso policial. Los cuatro eurodiputados que la esperaban se vieron obligados a salir a la calle para rescatarla y, al final, pudieron reunirse con la ex presa política en un salón del antiguo Parador español de El Aaiún.
Haidar, Ali Salem Tamek, Djimi El Ghalia o Hamdou Iguilid, las figuras más emblemáticas del nacionalismo saharaui o de la defensa de los derechos humanos, se entrevistaron una tras otra con una delegación del Parlamento Europeo que, por primera vez, visitó el Sáhara Occidental.
Algo más de tres años ha tardado la Eurocámara en obtener el visto bueno de Rabat para poder organizar una visita a la antigua colonia española que los diputados de las Cortes españolas siguen sin poder efectuar pese al anuncio que hizo, en junio de 2005, el ministro español de Asuntos Exteriores Miguel Ángel Moratinos.
La promesa, formulada en octubre por la Unión Europea, de conceder a Marruecos el estatuto avanzado que ansía, permitió obtener la luz verde marroquí. Presididos por el chipriota Ioannes Kasoulides, los cuatro eurodiputados -entre los que figuran dos españoles, Carlos Iturgaiz (PP) y Carlos Carnero (PSOE)- llegaron el lunes a El Aaiún no sin antes pasar por Rabat donde las autoridades marroquíes les explicaron su oferta de autonomía para el territorio que el Frente Polisario rechaza.
Para elaborar un informe sobre la situación de los derechos humanos, la delegación parlamentaria se reunió el martes con toda la disidencia saharaui y al final también, porque se presentaron en su hotel, con aquellos lugareños que se declaran abiertamente favorables a la propuesta autonómica.
Todos los independentistas expresaron su conformidad con el documento difundido el 19 de diciembre por Human Rights Watch (HRW) que recopila las violaciones de los derechos humanos que las autoridades marroquíes cometen en el Sáhara, según indicaron fuentes de la delegación. Uno de sus interlocutores dejó incluso caer que el informe de esa ONG se quedaba algo corto.
Todos ellos pidieron también, como ya lo hizo HRW el mes pasado, que se instaure un mecanismo de supervisión de los derechos humanos en el Sáhara, algo a lo que se resiste Marruecos. Esa tarea la podría desempeñar la Minurso, el contingente de la ONU desplegado en el territorio, si el Consejo de Seguridad ampliase su mandato.
En El Aaiún, una ciudad de 180.000 habitantes, hay siempre en sus calles una fuerte presencial policial, pero el martes estuvo tomada por las fuerzas de seguridad para impedir cualquier conato de manifestación. Los agentes eran especialmente numerosos en los alrededores del Parador.
"Con uniforme o de paisano hay policías por todas partes", comentó Iguilid, representante de la Asociación Marroquí de Derechos Humanos. Pero el masivo despliegue no impidió a nadie acudir a su cita con los eurodiputados aunque a veces lo hicieron con una "escolta" indeseada y amenazadora.

Una delegación del Parlamento Europeo 'saca del olvido' al Sáhara Occidental


27 de Janeiro 2009

Sus integrantes abordarán con Marruecos el tema de los Derechos Humanos en el SáharaUna delegación del Parlamento Europeo 'saca del olvido' al Sáhara Occidental

Día histórico en el Aiún, la capital del Sáhara. Por primera vez una delegación extranjera recorrerá este territorio del para evaluar la situación de los Derechos Humanos. No sólo es histórico porque Marruecos haya permitido esta visita a la delegación de eurodiputados que encabeza el popular Carlos Iturgáiz sino también por las reuniones que mantendrán en el territorio saharaui.CADENA COPE. Beatriz Mesa. Corresponsal en Marruecos - 27-01-09+

Dia histórico en El Aaiún, la capital del Sáhara. La misión internacional que estudia la situación de los derechos humanos en la antigua colonia española está trabajando en estos momentos “sin dificultades”, ha asegurado Carlos Iturgáiz, del Partido Popular, y quien encabeza la delegación de parlamentarios europeos. En declaraciones a la Cadena Cope, Iturgáiz ha dicho que “no son jueces sino observadores y deben escuchar a todas las partes del conflicto”. Al Hotel Parador de El Aiún han llegado- ante una alta presencia de militares y policías- las activistas saharauis, Aminetu Haidar y Djimi el Ghalia. Las dos han sufrido la represión y la tortura en la cárcel.Iturgáiz ha relatado que “hubo pequeños obstáculos por parte de las fuerzas militares y policiales”, que luego resolvieron y “las entrevistas se han desarrollado con normalidad”. Aminetu Haidar, en línea telefónica con la Cope, ha asegurado que “los problemas antes y después de la reunión demuestran el Estado de sitio en el Sáhara”. La activista aún no había puesto el pie fuera del hotel cuando las autoridades la agarraron y detuvieron “para provocar”, critica. Poco después la dejaron libre. Durante el encuentro, la activista trasladó a la delegación extranjera la “falta de libertad de expresión y de movimiento” en la ciudad anexionada por Marruecos. Destacó la “persecución” de los estudiantes saharauis en las universidades marroquíes. El último caso, Elwali Elgadmi, de 23 años. Según fuentes de la Asociación Saharaui de Víctimas de Graves Violaciones de los Derechos Humanos (ASVDH), Elgadmi fue arrojado de un cuarto piso de la Universidad de Marraquech tras participar en unas manifestaciones en las que los estudiantes denunciaron una intoxicación colectiva. El suceso ocurrió el pasado 14 de mayo de 2008. El gobierno marroquí negó cualquier implicación de las fuerzas de seguridad en el suceso.El eurodiputado español del PP ha explicado también a la Cope que la reunión “muy rápida” mantenida con el wali de la capital (el gobernador) ha sido “cordial”. La posición del reino alauí es clara: Proyecto de autonomía para el Sáhara, que ayer defendió el jefe del Consejo Real Consultivo para asuntos Saharauis (CORCAS) durante su encuentro con los diputados. “Rabat insiste en la “marroquinidad” del Sáhara, niega las violaciones de derechos humanos en el territorio y califica a los activistas de separatistas”, manifiestan fuentes de la delegación del Parlamento Europeo (PE). “No es importante”, dicen estas mismas fuentes la postura del gobierno marroquí porque “era algo esperado”, sino la “mano abierta a los diputados para que trabajen sobre el terreno con total libertad”.. Desde que Marruecos ha firmado el estatuto avanzado con Bruselas “se están produciendo algunos cambios positivos” termina Iturgáiz.La visita “histórica” culminará mañana en Rabat. La delegación mantendrá encuentros bilaterales con las autoridades marroquíes con el trasfondo del estatuto avanzado. En los próximos días, Bruselas hará público el informe que los europarlamentarios elaborarán sobre la situación de los derechos humanos en el Sáhara Occidental. “Desde hace más de treinta años se violan de forma sistemática”, manifiesta contundente la activista. Djimi el Ghalia.----------------------


Eurodiputados examinan en Sahara Occidental la situación de derechos humanosEFE - 27/01/2009 22 : 10Rabat, 27 ene (EFE).-

Una delegación del Parlamento Europeo (PE) analizó hoy en El Aaiún, capital del Sahara Occidental, la situación de los derechos humanos en la ex colonia española, tras una intensa ronda de entrevistas con disidentes saharauis y autoridades oficiales.La misión europea tuvo la oportunidad "histórica", como ella misma la calificó, de reunirse con las principales asociaciones de defensa de los derechos humanos que trabajan en el disputado territorio por primera vez desde que fue constituida esta subdelegación "ad hoc" para tratar el problema del Sahara.El encuentro, que se celebró en un hotel de la época colonial española, estuvo marcado por las fuertes medidas de seguridad desplegadas en torno al lugar, adonde acudieron alrededor de cien militantes de organizaciones pro saharauis.Como dijo a Efe Carlos Iturgaiz, eurodiputado español del PP e integrante de la expedición, la delegación notó "la necesidad que tenía tanta gente de hablar, de explicar sus problemas a alguien y que se les escuchase".Iturgaiz recordó una frase que les dijo la activista Djimi El Ghalia durante su entrevista: "Por encima de la autodeterminación y el estatuto de autonomía (propuesto por Marruecos) están los derechos humanos, y lo primero que hay que hacer es respetarlos".Fuentes de la delegación aseguraron que hubo un consenso generalizado entre las asociaciones en señalar el reciente informe de la ONG Human Rights Watch (HRW), presentado en diciembre, como un fiel reflejo de la situación en el territorio.En dicho informe, HRW afirmó que "las fuerzas de seguridad detienen arbitrariamente a manifestantes y presuntos activistas saharauis, a los que golpean, torturan y obligan a firmar confesiones policiales incriminatorias".Asimismo, denunció que las leyes que penalizan los ataques contra la "integridad territorial" marroquí se utilizan en la práctica para "silenciar a la población" y constituyen una violación de los derechos a la libertad de expresión.El presidente de la Asociación Saharaui de Víctimas de Violaciones Graves de los Derechos Humanos, Brahim Dahan, explicó que la entrevista con la delegación fue "muy buena" y que se abordaron una gran cantidad de temas "siempre desde el punto de visto jurídico y de la legalidad internacional"."Lo más importante es que hemos podido explicar la situación dramática que vivimos. Hemos pedido que la Unión Europea intervenga de un modo más activo en la protección de los derechos humanos en el Sahara Occidental", subrayó el activista.Dahan denunció las trabas que impusieron las autoridades marroquíes para que muchos activistas, entre ellos él mismo, llegasen al encuentro y acusó a las fuerzas de seguridad de haber golpeado a unos cuantos invitados a la entrevista.En la delegación europea, integrada por cinco personas y presidida por el chipriota Ioannes Kasoulides (Partido Popular Europeo), también estuvo presente el socialista español Carlos Carnero, quien se felicitó por haber podido cumplir todo el programa de entrevistas.Carnero recordó que la subdelegación fue creada en octubre de 2005, y que ésta es la primera vez que Marruecos permite a sus miembros viajar al disputado territorio.La misión europea también mantuvo encuentros con el representante especial del secretario general de la ONU, Julian Harston, y con el nuevo "wali" (gobernador) de El Aaiún, Mohamed Jalmus.Marruecos ha administrado el Sahara Occidental desde que se anexionó la región tras la retirada de España de su antigua colonia en 1976, aunque la ONU no reconoce la soberanía marroquí.

COMITE SAHRAOUI POUR L’OBSERVATION DES DROITS DE L’HOMME A ASSA



24 de Janeiro 2009

Communiqué

Dans le cadre de concrétiser une vision sure et sincère pour lutter contre les violations graves des droits humains commises par l’Etat marocain au Sahara Occidental ; dans les zones sud du Maroc et aux campus universitaires, un groupe d’activistes associatifs et ex-prisonniers politiques sahraouis se sont entretenus en date du 24 JANVIER 2009 à ASSA (sud du Maroc) et ont conclu la formation d’une structure locale sahraouie des droits de l’homme ; ayant comme objectif
l’encadrement des efforts et réalisations des attentes nobles et légales ; qui s’intitule : ‘ COMITE SAHRAOUI POUR L’OBSERVATION DES DROITS DE L’HOMME A ASSA ’ abrege sous le sigle ´´ CSO´´ , son bureau se compose de :
-président : mustapha Tamek /ex detenu politique sahraoui.
-1er vice président : mohamed salem Benahou , charge des relations extérieures du comite.
-2eme vice president: fdaili Feghraoui.
-3eme vice président : hannoun Elbadr/ ex detenu politique sahraoui.
-secrétaire général : mohamed Herran /ex detenu politique sahraoui.
-1er vice sec.gen. : brahim Boukioud /ex detenu politique sahraoui .
-2eme vice sec.gen. : omar Chekrad/ex détenu politique sahraoui.
-trésorier : allal Elamri .
-vice trésorier : abdelkadr Karnouch.
- conseillers : - najem Labkam /ex détenu politique.
- lbachir Najiaa/ ex détenu politique.
-cheikh Banga /ex détenu politique.
Fait a ASSA/ sud du Maroc le : 24 /01/2009

DESCUBIERTAS FOSAS COMUNES EN EL AAIUN SAHARA OCUPADO


11 de Janeiro 2009

Extracto de una de las páginas del periodico marroqui Assabah que ha difundido la información la semana pasada.El Aaiun 11 Enero 2009.

El periódico marroquí Assabah en su edición del pasado mes de diciembre publicó que los trabajadores de la empresa Fosbucra situada a 90 kilómetros de la ciudad saharaui ocupada de El Aaiun, algunos operarios se han encontrado con una fosa común con ocho tumbas de personas que se han enterrado separadas en ocho grupos de personas.La fosa según la gendarmería marroquí es de los años de la guerra entre el ejército marroquí y el saharaui época en la que desaparecieron más de 500 civiles saharauis y se calcula que podría ser desde hace 15 a 20 años de haber sido practicada con pocos cuidados como prevé los ritos religiosos.El periódico marroquí habla de que los agentes de la gendarmería no disponen de adecuados medios para realizar la investigación que podría determinar el reconocimiento y las condiciones en las que estas personas perdieron la vida, así como el estudio de su ADN para identificar la identidad de cada cadáver. Este descubrimiento ha movilizado las familias saharauis de los desaparecidos y las que hayan perdido sus hijos en la guerra sin saber donde habían sido enterrados, que es el caso de muchas familias de soldados marroquíes.

Fuente: Activistas de Derechos humanos saharauis