terça-feira, 14 de abril de 2009

L’état de santé de Yahya Mohammed Elhafed devient critique

13 de Abril 2009



Yahya Med Elhafed

le prisonnier politique sahraoui Hassan Abdullah a la prison Benslaimane au Maroc numéro d’écrou 20.618, continu une grève de la faim ouverte depuis samedi 11 avril 2009 pour protester contre les attaques commises contre lui par un prisonnier de droit commun marocain nommé Aaz Eddine qui est un baron de drogue.
Il a demandé à l’administration pénitentiaire d’assurer sa protection, et qu’elle a la pleine responsabilité en cas que sa vie est en danger.
Selon certains détenus, a la prison d’Ait Melloul l’état de détenu politique sahraoui Yahya Mohammed Elhafed , qui est en grève illimitée de la faim depuis dix jours est maintenant critique, il est devenu incapable de se déplacer ni de parler sachant qu’il plaigne de plusieurs maladies graves, l’asthme, le rhumatisme, l’anémie et les hémorroïdes, et n’utilise plus ces médicaments. En ce qui concerne le détenu politique sahraoui Bouya Najem, il souffre de graves douleurs au niveau des reins et de la préséance du sang dans l’urine, et ils sont tout les deux toujours dans des cellules disciplinaires (cachot) chacun isolé tout seul.

Association pour la protection des prisonniers sahraouis
El-Aaiun 13/04/2009

L’ASVDH Sollicite les Détenus politiques sahraouis de rompre leur grève de la faim

12 de Abril 2009





Les détenus politiques sahraouis Ablagh ali salem, Brahim Beryaz et Khalhanna Abou elhassan, mènent une grève de la faim depuis le 13/02/2009 pour l’amélioration de leurs conditions au sein de la prison civile de Marrakech Boulamharez selon les exigences minimales du Règlement type pour le traitement des détenus adopté par l’Organisation des Nations Unies, pour les isoler des détenus de droit public , le suivi des études , la visite de la famille et de la consultation médicale … alors que l’administration pénitentiaire tourne toujours le dos à ces justes revendications.
Dans cette situation tragique de leur état et à la détérioration de leur santé, qui influent sur leur droit à la vie, l’Association sahraouie des victimes de violations graves de droits de l’homme (ASVDH). Sollicite les Détenus politiques sahraouis de rompre leur grève de la faim.
Invite également les organismes des droits de l’homme à soutenir leurs revendications légitimes.