terça-feira, 31 de março de 2009

Témoignage de l’enfant mineur Mansour Darif

29 de Março 2009




Mansour Darif


Je m’appel Mansour Darif, âgé de 16 ans, à environ 22.00 heures de 27 Mars 2009 et alors que j’étais debout près de l’une des boutiques des jeux dans la rue du Maghreb arabe, alors une voiture de type Land Rover 110 blanche qui transporte des policiers en tenu civile dirigé par le tortionnaire Khalid Baraka qui se présente toujours comme le vice-Aziz Touhima qui s’arrête devant moi.
Khalid m’a appelé en s’approchant de lui je ne me sens que je suis dans la voiture et les yeux bandées puis la voiture démarre pour s’arrêter dans un lieu que j’ai pu le connaitre en regardant sous la bande c’est le quartier de l’ERAC, la je serai interrogé pendant une heure avant d’arrêter l’interrogatoire par un ordre transmit par leur radio comme il me semblait pour être transporté vers le commissariat (Willaya).
Quand nous sommes arrivés au siège de la Willaya Khalid m’a appelé et m’a dit «Je vais revenir après une heure, pour que tu me dire tout ce que tu connu et je te laisse sortir ” il n’a pas revenu j’ai passé la nuit sans qu’il revient puis j’ai dormi sur des papiers carton, la police a nié ma préséance pour m’a famille mais devant son insistance les responsables de la sécurité leur répond avec moquerie : on a fini de lui allez chercher dans les environs de la rivière de Saguia elhamra.
Dans la matinée du 28 Mars, l’agent Abdelaziz Anoush est venu me voir accompagné de khalid Baraka, en répétant d’insultes sans cesse , avant de passer a la soi-disant poulet rôti l’un des moyens et des méthodes de torture que j’ai entendu de la part d’amis et de survivants des camps de Agdz, Magouna, Pc semi et, plus récemment, le siège du la willaya de la sécurité et après avoir terminé le processus qui a été accompagné de plusieurs questions sur une série de manifestations qui assiste la ville de Laayoune, ces derniers jours, avenue Dadach, et Maghreb arabe, ainsi que Kharatoria et avenue Sharif arradi. Je n’ai pas participé à l’une de ces manifestations, à l’exception celle de la solidarité dans la rue de Daddah, et a souligné que nous avons répondu à une manifestation pacifique et civilisée en répétant de slogans concernant le droit a l’autodétermination.ils me faire parvenir de nouveau à une autre méthode de torture connue sous le nom de (falaka), ils m’ont interrogé sur mes relations avec Izzana Ameidan, Mohamed Salem Boussoula, Inguia Elhaouassi et Hayat Rguibi et leurs relations avec l’ensemble de ces manifestations qui la ville de laayoune pour arrivé a une contradiction que ces sujets traitent avec la police.
J’ai dormi une deuxième nuit sur papier carton, privé de manger ou même de boire, pour être libéré cet après-midi le 29/03/2009 alentours de 15h après que je suis averti si mon témoignage saura publié sur l’Internet ou à des organisations des droits de l’homme.

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