sábado, 9 de maio de 2009
Horaires et honoraires du consul marocain à Paris
Accord de principe décroché en 20 jours
Il avait en effet reçu, dès le 9 avril, un courrier de son ministère lui donnant un accord de principe (cf. doc 4) pour l’achat de l’appartement. Un record ! Comme si le Maroc n’avait pas d’autres chats à fouetter. Comme si le Consul Jaïdi ne pouvait pas attendre que le prix de l’immobilier parisien ne chute à cause de la crise.
Horaires et honoraires du consul marocain à Paris
Si le Consul Abderrazak Jaïdi sait faire acheter des appartements au ministère des Affaires étrangères marocains, il est un peu moins prompt à remplir ses missions de consul. Bakchich ne résiste pas au plaisir de republier un article sur le bonhomme paru en juin 2006.
« Rien ne va plus entre les autorités marocaines et la Préfecture de police de Paris, où siègent les commissions chargées de décider de l’éventuelle reconduite à la frontière des étrangers indésirables.
Les flics français reprochent à leurs homologues marocains de ne pas délivrer les précieux laissez passer qui rendront l’expulsion possible. « Les Algériens, eux, jouent parfaitement le jeu, comme le faisaient les Marocains au début des années 90, explique-t-on à la PP (diminutif de la Préfecture de Police), on a le sentiment que du côté des autorités consulaires marocaines, rien ne va plus ». Au point d’ailleurs que le service du protocole des affaires étrangères a transmis une note à ce sujet à l’Ambassade du Marc à Paris.
Fournir cravates, parfums, costumes : un travail de consul
Gabegie… Corruption… Ces mots reviennent dans la bouche des employés des services marocains à Paris quand ils évoquent la mission du consulat général. À la tête de ce dernier, Abderrazzah Jaidi, qui a rang d’ambassadeur, est l’homme à tout faire du Palais royal à Paris, tout comme son frère qui a les mêmes fonctions aux États-Unis. À lui de fournir aux proches de sa Majesté les cravates, parfums et autres costumes dont ces derniers peuvent avoir besoin. À en croire ses vantardises, il est beaucoup plus prompt à aider les puissants de Rabat pour leurs menus emplettes qu’à coopérer avec le ministère français de l’Intérieur.
C’est à lui que revient aussi la mission humanitaire de trouver de bons hôpitaux à Paris pour les amis du pouvoir, alors que la situation sanitaire marocaine, elle, confine au désastre. »
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