domingo, 19 de abril de 2009
L’ASVDH : le citoyen sahraoui est victime de la politique systématique de discrimination
15 de Abril 2009
l’Association sahraouie des victimes de violations graves des droits de l’homme commises par l’État marocain a suivit les détails de la criminalité, qui a coûté la vie a deux étudiants sahraouis Baba Abdel-Aziz Khya et ElHoussine Abd Essadk Laktaif le 01.12.2008 a Agadir Sud du Maroc, dans le contexte d’une manifestation pacifique organisée par des étudiants sahraouis jour de l’Aïd al-Adha, en face de la gare routière
, Exigeant que la compagnie de transport doit fournir des autobus pour le transport fin de résoudre la crise qu’ils subissent, à tel occasion, l’ASVDH a émis le: 15/01/2008 un rapport détaillé sur le déroulement de cette violation grave du droit à la vie, à laquelle ont participé, avec la compagnie de transport, des agents de sécurité selon des Témoignages de témoins ..
Elle a suivi Aussi les différentes étapes de l’enquête et des auditions marquées par le report répété de plusieurs mois pour éviter la situation intense et l’attention accordée par les organisations des droits humains et les médias pour le procès, et la détermination claire et transparente que le crime a été qu’un simple accident de la circulation, dans ce contexte le chauffeur de bus Lahssen Lamine a été condamné le 08/04/2009 pour quatre mois de prison ferme et d’une amende de Mille dirhams et le retrait de permis conduire pour un an.
L’asvdh constate que cette injuste décision est destinée à occulter la réalité de ce crime odieux, et certainement le manque d’indépendance de la justice, dont le Maroc n’a pas pris le fond de cet incident, qui est suivi par une intervention brutale qui a entraîné des victimes parmi les étudiants sahraouis qui ont été sur le lieu de crime, au mépris du droit à la vie.
Et L’ASVDH Rappelant comme beaucoup de procès dans lequel le citoyen sahraoui était victime de la politique systématique de discrimination à son encontre par l’État marocain, nous avons, par exemple:
- la condamnation de deux policiers à dix ans ferme, après avoir été impliqué dans le meurtre sous la torture, du jeune sahraoui Hamdi Lambarqui après son arrestation lors d’une manifestation pour demander l’indépendance. Et après deux ans de prison, dans un statut très particulier, et isolé des prisonniers de droit public, de plus traités comme des employés à l’intérieur de la prison et non comme prisonniers, pour être libérés après leur condamnation à deux ans par la cour d’appel.
- La condamnation de l’activiste des droits humains Yahya Elhafed Iaaza pour quinze ans de prison ferme après la mort d’un homme de sécurité à la ville de Tan Tan par une pierre lors d’une manifestation selon le récit de police.
- La condamnation de Hassanna Elmaki par vingt ans de prison ferme parce qu’il a été accusé de meurtre d’un homme de sécurité après l’avoir écrasé par sa voiture lors que la victime essaie de le rattraper.
- Ne pas ouvrir une enquête sur les centaines de plaintes déposées par les citoyens Sahraouis au procureur général, après avoir été soumis à des mauvais traitements et de torture aux mains des forces de sécurité marocaines.
Ainsi, l’Association sahraouie des victimes de violations graves des droits de l’homme condamne cette décision injuste, appel les organisations national et internationales des droits de l’homme de soutier les familles des victimes et à envoyer des observateurs pour suivre les séances de la Cour d’appel et de la pression sur l’Etat marocain à respecter le droit à des recours, le droit à un procès équitable et à abandonner sa politique de discrimination systématique contre les Sahraouis qui vient de prendre de graves proportions.
El-AIUN SAHARA OCCIDENTAL
15/04/2009
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